La farine est l’aliment clé d’une alimentation avec peu de gluten.

farines sans gluten
La farine est l’aliment clé d’une alimentation avec peu de gluten.
farines sans gluten
En fait l’idéal est de commencer à s’intéresser à cette question, des années avant l’échéance, pour se préparer.
N’étant ni médecin, ni diététicienne, je n’aime pas trop parler d’habitudes alimentaires, sans avoir suffisamment de recul pour savoir si elles s’avèrent bonnes ou pas.
Cela fait plusieurs années maintenant que je suis ménopausée.
En moyenne au fil de sa vie, une femme prend une dizaine de kilos, dont une bonne partie à la ménopause. J’ai toujours trouvé ça injuste mais il parait qu’on trouve l’explication il y a des centaines d’années quand la femme avait besoin de subvenir aux besoins du bébé même en cas de famine.
Il y a 23 ans à la naissance de mon premier enfant, je pesais entre 58 et 59 kilos (je mesure 1m68), trois enfants plus tard, 23 ans plus tard et quelques années après la ménopause, je pèse 59 kilos. En gros, cela fait 35 ans que je pèse 59 kilos, à 1 kilo près.
Alors je ne vais pas mentir non plus. Pendant toute ma vie, j’ai pu manger tout ce que je voulais sans prendre un gramme. Aujourd’hui, je fais quand même plus attention. Et si je fais un peu plus attention, c’est qu’il y a 2 ou 3 ans au début de la ménopause, j’ai quand même pris 2 ou 3 kilos. C’est quand j’ai vu 62 sur la balance que ça m’a fait un choc.
Le problème n’était pas forcément esthétique (enfin… quoi que…. je mens totalement là parce que le problème est toujours forcément un peu esthétique aussi) mais c’était surtout qu’il fallait les porter les 2 ou 3 kgs sur les chemins et dans les montées du Mont Blanc :-), et les problèmes de dos aussi, pas terrible de faire porter des kilos supplémentaires à son dos quand il n’est déjà pas très solide.
Je n’ai pas fondamentalement changé mon alimentation, mais je me suis mise à être un peu plus vigilante. Je n’ai jamais suivi de régime, je n’en suis toujours pas et même si je ne suis pas très « sucre », j’adore le chocolat, j’en mange quasiment tous les jours, et j’aime les desserts. Je prends un goûter tous les jours.
Alors au bout de pas mal d’années quand même, j’ai une assez bonne idée de ce qui me convient et des quelques principes que je respecte (même si évidemment les grands principes sont faits pour être contournés parfois).
Mais quelques règles quand même.
Alors quid des chips, des cacahuètes, de toutes ces choses pas très diététiques ? J’en mange de temps en temps, moins souvent qu’avant.
Les raclettes, les tartiflettes, les tartes aux fruits (mon péché mignon), j’en mange aussi, en rajoutant des légumes de çi de là dans la raclette.
Et je fais du sport, mais la logique aurait voulu que je prenne quand même quelques kilos après la ménopause, après tout je ne fais pas plus de sport qu’avant ?
Voilà, rien de bien compliqué, rien de bien contraignant, j’aime manger et j’ai du mal à supporter l’idée de privation.
Mais il y a quand même une chose que je répète depuis des années à mes enfants, notre corps n’est pas une poubelle, autant en prendre soin quand même non ?
Depuis plusieurs années, j’ai des douleurs à l’estomac, dont je ne me suis pas beaucoup occupée. J’ai consulté plusieurs fois des médecins, je me suis retrouvée aux urgences 2 fois, pas de mon fait, mais envoyée par les médecins, sans que jamais mon problème ne soit résolu. Au mieux, on me répondait dépité que mon problème était psychologique, au pire on me prescrivait une fibroscopie ou quelques médicaments.
2 recettes à faire la veille pour un petit déjeuner savoureux.
Gaufres sans gluten
pour 5 à 6 gaufres
Séparez le blanc des jaunes, battre les blancs en neige, mélangez la farine, le sucre, la levure, les jaunes et le beurre fondu, rajoutez ensuite les blancs battus en neige.
Crêpes sans gluten
Pour une texture plus moelleuse, on peut mettre un yaourt.
On peut les faire nature ou rajouter une banane écrasé, ou des pommes ou poires.
Dans ce cas, on fait revenir une poire coupée en morceaux dans un peu de beurre, et on met la pâte à crêpes. Ca ressemble à une omelette, c’est délicieux. Montre en main, ça prend 5 mn à préparer et cuire.
Je fais systématiquement des pancakes à la banane avant de partir pour une course.
Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée, c’est celui, souvent par manque de temps, auquel on accorde le moins d’importance. On mange d’ailleurs souvent tous les jours la même chose au petit déjeuner, on ne mange pas tous les jours des carottes et du riz au déjeuner ?
La question de l’alimentation durant un trail est importante. Pour s’en rendre compte il suffit de s’observer au quotidien quand on a faim. On manque d’énergie, on manque de concentration, on a moins envie d’avancer, on est tout simplement fatigué.
Je fais ce gâteau pour le petit déjeuner d’avant les courses, mais il peut être confectionné à n’importe quelle occasion.
C’est la recette de base du quatre quarts :
Les fruits secs à coque sont riches en lipides et en minéraux (fer, calcium, potassium). Les noix de cajou sont riches en zinc.
On peut également rajouter du chocolat coupé en morceaux.
On mélange le tout et on enfourne 25 mn à 180°.
En préparation d’une course, je mets des fruits secs, en gâteau de « tous les jours », je mets des fruits, pommes ou poires.
En ce moment je suis clouée sur mon canapé par un méchant lumbago (à une semaine de mon 100 kms… vraiment pas de chance), je continue donc sur l’un de mes sujets de prédilection du moment, l’alimentation, ou comment l’industrie agro-alimentaire contribue à nous empoisonner au quotidien… Il y en a des choses à dire…
J’ai eu au cours des dernières années quelques petits soucis alimentaires dont je parle ici qui m’ont conduit à plusieurs reprises à l’hôpital. J’ai cherché au fil du temps des réponses à mes questions. Je pense qu’il est vraiment indispensable aujourd’hui que l’on s’intéresse à ce que l’on a dans son assiette.
Ceci n’a rien à voir avec le sport, mais quand on fait du sport on prend un peu soin de son alimentation, alors j’ai eu envie de raconter ma « mésaventure » alimentaire qui a commencé il y a quand même 20 ans, l’intolérance aux sulfites.
On parle beaucoup des allergies au gluten, au lactose, mais qui connait les sulfites ? Un véritable poison.