Ce sera ma première participation à cette course bien connue, la Saintélyon, doyenne des ultra, qui rallie Saint Etienne à Lyon, 72 kms, de nuit le 5 décembre.
Archives mensuelles : octobre 2015
Petzl Nao
C’est avec cette lampe que je vais participer à la Saintelyon, 72 kms de nuit pour une grande partie des kilomètres, le 5 décembre prochain.
S’équiper pour courir quand il fait froid
Bien se couvrir pour courir quand il fait froid, ne signifie pas trop se couvrir. Il faut respecter les règles des 3 couches en portant un tee shirt technique respirant, manches courtes ou longues, ça ne change pas grand chose. Ce tee shirt (surtout pas en coton), doit évacuer la transpiration en gardant le coureur au sec. Il doit être moulant pour garder la chaleur au plus près du corps. On en trouve dans toutes les marques et à tous les prix.
La deuxième couche doit isoler du froid.
On en trouve à tous les prix également. J’aime bien qu’ils soient zippés pour pouvoir les ouvrir si j’ai vraiment trop chaud.
C’est la 3ème couche qui protège du vent ou de la pluie. Ce sont ces vêtements là qui coutent généralement le plus cher. En plus de protéger des éléments extérieures, de la pluie, du froid, de la neige, cette veste doit être respirante pour éviter l’effet sauna du kway.
Tout dépend de l’usage que l’on va en avoir. Si il s’agit de faire un footing le matin ou le soir en hiver à l’entrainement, ce n’est pas non plus la peine de dépenser une fortune. Mais si l’on doit passer une nuit entière dehors l’hiver, mieux vaut s’équiper de façon convenable. Ces vestes dépassent souvent les 250 euros.
Protéger ses extrémités
Un seul mot d’ordre, couvrir les extrémités, la tête, les mains, les pieds. On a rarement froid quand on a un bonnet, des gants et des bonnes chaussettes. C’est par la tête que s’effectue le plus de déperdition de chaleur en course. Ne jamais négliger ses extrémités.
Si on n’aime pas courir avec un bonnet, un bandeau est une bonne alternative.
Pareil pour les gants, on peut choisir des vêtements dont les manches descendent sur les mains.
Pour le bas du corps, on voit en fonction de la température. Il existe des textiles plus ou moins chauds, et de façon basique, plus les degrés baissent, plus on allonge la longueur du vêtement du bas !
Trail de Gorbio 2015
16 kms 900 mètres D+ dans un très joli village niché sur une colline entre Monaco et Menton.
Une grande nouveauté cette année, on ne fait plus les trails à deux, mais à trois, avec la présence de notre fils de 17 ans dont c’était le premier trail.
Et c’était super sympa de partager ce moment avec lui, enfin, partager, façon de parler, je l’ai vu au départ et à l’arrivée. Mais je suis très fière de mon fils, c’était sa première course, il a plus l’habitude de s’entrainer sur la promenade des anglais, que dans le relief niçois !!
Il a fait les 16 kms en 1:39, en faisant des petites pauses pour aider les coureurs blessés (la descente du trail de Gorbio est particulièrement technique et difficile). Bravissimo !!
L’année dernière ce trail de Gorbio était notre premier trail dans la région, et j’avais un peu souffert, je n’avais pas l’habitude de faire autant de dénivelé sur une si petite distance. Un an après, et après les 47 kms du TBA, les 45 de Valberg, les 37 kms de la Foux d’Allos, le chrono est rassurant, 13 mn de moins, 2:04 l’année dernière, 1:51 cette année, je suis contente, j’ai adoré cette course du début à la fin, je me suis sentie bien tout le long, j’ai profité du paysage, j’ai même aimé les descentes, jamais je n’aurais cru écrire ça, je commence à aimer les descentes pleines de cailloux, de racines, de rochers.
Le parcours était le même que l’année dernière, 900 mètres de dénivelé répartis sur les premiers 9,5 kilomètres, avec une alternance de routes larges et de chemins étroits. Des montées pas trop cassantes qui permettent de courir très souvent. L’arrivée à Rocagel signifie la fin de la montée. On poursuit sur un chemin très large sur lequel on peut courir très vite, mais malheureusement c’est de courte durée, et la descente se poursuit sur un chemin très étroit, très pentu et plein d’obstacles, qui vaudront une belle entorse à la coureuse juste devant moi 🙁
Bravo à « mes » hommes qui ont fait des très beaux chronos
Brice 1h38
Julien 1h39 (1er podium, 3ème Junior !!)
et moi 1h51 (4ème V1, 8ème scratch femme)
Prochaines courses, 32 kms des Baous que Julien ne pourra pas faire, trop jeune, et 72 kms pour la Saintélyon en décembre.
Garmin Forerunner 25
La Garmin Forerunner 25 offre tous les fondamentaux de la course à pied, et contrairement à certaines montres, certes plus sophistiquées, elle est d’une simplicité d’utilisation incroyable.
Idéal pour les coureurs débutants, et pour les plus confirmés.
elle est bien sur dotée d’un GPS intégré, elle indique :
– la distance effectuée
– la vitesse
– les calories brulés
– le nombre de pas effectués
Elle remplace donc le podomètre, vivofit ou autre. Et émet bien sur un petit signal accompagné d’un « bougez » quand on reste assis trop longtemps 🙂
Autre avantage, en installant sur son smartphone l’application Garmin connect, on télécharge en bluetooth les données de la montre directement sur l’ordinateur.
Autre utilisation peut-être anecdotique au quotidien, mais très interessante en course quand on n’a pas envie de sortir son téléphone du camelbak à chaque fois qu’on reçoit un SMS, la forerunner 25 couplée avec un smartphone permet de recevoir sur la montre toutes les notifications, SMS, appel, alertes et autres… petite précision toutefois, il est quand même utile d’avoir de bons yeux pour pouvoir les lire rapidement 🙂
Prix : 169 euros